Le Karaté est aujourd’hui un des arts martiaux les plus populaires au monde.  L’histoire du Karaté commence il y a quelques siècles dans une petite île de l’Océan Pacifique, l’île d’Okinawa.  De ce fait, Okinawa fait partie des quelques lieux mythiques, comme le célèbre temple bouddhiste de Shaolin construit au V° siècle, par lesquels passe l’histoire de la plupart des arts martiaux. C’est en ce sens que l’origine du Karaté Jiseidô prend sa source dans une recherche des origines du Karaté à laquelle s’est livrée Me. Tokitsu – Ceinture Noire 9ème DAN – et qu’il nomma d’abord « Karaté Shaolin-Mon » (= la « porte » vers le Karaté authentique des origines) pour fonder par la suite un art martial de synthèse : le Jiseidô.

Les techniques traditionnelles du Karaté sont destinées à assurer une efficacité totale dans toutes les formes de combat possibles, utilisant de manière rationnelle l’ensemble des possibilités que lui offre le corps humain en matière d’autodéfense.

Comme le développe Me. Nishiyama – Ceinture Noire 9ème DAN, pionnier du Karaté – dans son livre, Karate, the art of « empty hand » fighting : « le Karaté en tant que méthode de self-défense possède une histoire de plusieurs centaines d’années.  Il permet aux personnes le pratiquant après un certain temps d’être préparées physiquement et psychologiquement à se défendre avec succès contre n’importe quel agresseur potentiel. »

C’est dans cette optique que notre professeur Vincent Leduc a pris l’initiative de proposer une formation « éclair » en février 2012 aux Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix de Namur, une initiation gratuite à partir du Karaté, aux jeunes filles légitimement anxieuses et inquiètes face au risque d’être victime de ce que les médias ont surnommé « le violeur de Namur ». Il a été assisté de Jean-Luc Perot, Pascal Vigneron, Régis Brasseur et Quentin Dallons. En voici un écho de RTL-TVI ainsi que de la RTBF.